C'est l'effort des collectivités cherchant à contrôler les inondations qui a mené à la création de l'Office de protection pour la conservation de la rivière Nation Sud en 1947. Cependant, en plus des inondations, cette région a également été frappée par des tremblements de terre, des glissements de terrain, des tornades et des tempêtes de verglas.
La tempête de verglas de 1998 n'a pas été la seule tempête de ce type à frapper la région. Une autre tempête a frappé en 1942, mais a eu moins d'impact car à l'époque, les résidents utilisaient encore le bois ou le charbon pour se chauffer de même que les lampes à pétrole.
Ce n'était plus le cas en 1998, lorsque la glace a détruit les réseaux électriques et de communication de l'Est ontarien et du Sud-Ouest du Québec. Les gens qui utilisaient de « vieilles » technologies se sont mieux débrouillés que ceux qui dépendaient des générateurs pour ne pas geler dans le noir.
La tempête de 1998 a également dévasté de nombreuses plantations d'arbres. Ces arbres ont subi d'importants travaux de réparation. Lorsque des milliers de branches cassées et de troncs d'arbre sont tombés dans les ruisseaux et rivières, les débits d'eau ont également été bloqués, aggravant les inondations printanières.
Cette géocache permet de démontrer la différence entre les deux zones boisées. Voyez si vous pouvez déterminer laquelle a bénéficié de l'intervention des techniciens forestiers de la CNS et de leur science, et laquelle lutte encore, de nombreuses années plus tard.